Contribution n°21 (Web)
Déposée le 6 décembre 2025 à 18h41
Je me suis informé sur internet, et découvert une espèce de jeu de tennis dans une cage en verre , qui se joue avec des balles et des raquettes rigides, extrèmement bruyant et contesté dans beaucoup d'endroits en France, et en Europe. Mais, c'est à la mode.
Elles ont été construites à 100 m de l'eglise St Sauveur en gardiole, à moins de 50 mètres des habitations et des immeubles, sans aucune information , ni consultation des habitants, dans une discrétion absolue: Politique du fait accompli, en dérogation des normes environnementales relatives aux nuisances sonores , sans tenir compte des recommandations de la fédération de tennis,ni de respecr minimum aux habitants.
Ces structures sont contestées dans beaucoup d'endroits en raison des nuisances sonores très importantes, et finissent au tribunal administratif.
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 5 décembre 2025 à 17h51
Or, la zone UB ouvre des droits à construire impliquant une densité et des flux supérieurs, incompatibles avec la capacité réelle de desserte de cette voie. Une telle discordance apparaît contraire aux principes de cohérence interne du zonage et de proportionnalité entre constructibilité et infrastructures, rappelés par la jurisprudence et par les articles L.151-9 et L.151-10 du Code de l’urbanisme.
En l’absence de rupture physique, fonctionnelle ou paysagère justifiant la séparation UC/UB sur un même axe, ce choix de zonage semble dépourvu de fondement objectif et pourrait fragiliser la sécurité juridique du document.
Il est donc recommandé de reconsidérer le classement de ce secteur en zone UC, seule compatible avec les contraintes structurelles du chemin et le tissu urbain environnant.
Document joint
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 4 décembre 2025 à 21h21
Les caractéristiques du chemin ne sont absolument pas compatibles avec une zone UB :
largeur de voie extrêmement limitée (3,50 à 4 mètres),
impossibilité de croisement des véhicules,
absence totale de trottoir,
absence de stationnement public,
accès difficile pour les secours (pompiers, ambulances),
typologie du quartier composée exclusivement de maisons individuelles.
Le classement en UB autorise une densification forte (immeubles R+2, habitat collectif), totalement incompatible avec la capacité réelle de la voirie et les conditions de sécurité.
Conformément à l’article L.101-2 du Code de l’Urbanisme, le zonage doit garantir :
la sécurité publique,
la salubrité,
la cohérence urbaine,
la préservation du cadre de vie.
Rien, dans l’état actuel du Chemin de la Calade, ne permet d’accueillir une urbanisation de type UB.
Le zonage UC est le seul compatible avec :
la réalité du terrain,
la forme urbaine existante,
la sécurité des usagers,
la cohérence du quartier,
la typologie résidentielle en place.
Je demande donc formellement que le secteur soit classé en zone UC, garantissant une urbanisation adaptée, respectueuse du quartier et de la sécurité des habitants.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 28 octobre 2025 à 12h00
Pourtant, le projet d’immeuble prévu au 14 chemin de la Calade à Frontignan contredit directement ces engagements : il densifie un quartier résidentiel, aggrave l’îlot de chaleur urbain et perturbe la circulation naturelle du vent.
Le PLU devrait interdire ce type de construction dans les zones pavillonnaires afin d’assurer la cohérence entre les discours climatiques et les décisions d’urbanisme.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 25 octobre 2025 à 12h51
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 17h12
1° Frontignan est une commune avec un aspect à 95% ''rural''(sauf bien sûr le vieux centre)
2° Sur le territoire de Frontignan quasi la totalité des maisons sont : soit des maisons ''en plein pieds'' ou des maisons R + 1.
3° Par contre les dernières années, principalement le long de l'axe central, plusieurs constructions de la hauteur R + 2 ont été rajouté ce qui est en contradiction avec l'authenticité de Frontignan.
4° Le dernier temps plusieurs viticulteurs mettent leurs terrains de vignes en vente. Avec la néfaste conséquence que les promoteurs d'immobilier développent des projets basés en priorité sur leurs bénéfices financiers.
Et pour ces promoteurs les règles évidents de tenir compte :
1° de la hauteur des bâtiments
2° de la densité de l'environnement
3° de l'encombrement de la voie publique
4° du risque d'inondations
HELAS CE N'EST PAS LEUR PRIORITE !!!
l'Administration Communale a une lourde responsabilité.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 17 octobre 2025 à 16h49
Les hauteurs autorisées permettent aujourd’hui des bâtiments disproportionnés par rapport aux maisons existantes, créant des vis-à-vis et rompant l’équilibre paysager.
Je demande que la hauteur maximale tienne compte de l’environnement bâti existant et non du seul intérêt économique des promoteurs.
Les permis de construire doivent être délivrés dans le respect de l’harmonie du quartier et du cadre de vie des habitants.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 15 octobre 2025 à 20h26
Cette construction va impacter négativement tout le quartier :
-manque d'ensoleillement ( investissement piscines et panneaux solaires jeté par les fenêtres... )
- vis à vis avec des fenêtres et terrasses dans nos jardins ( sauf du côté de la maison des vendeurs, tiens, tiens...,)
-Plus de place de stationnement, déjà compliqué à ce jour, puisque 1 seule est prévue par logement... on sait tous que les ménages en comptent au moins 2 et les visiteurs viennent rarement à pied!
- risque d'inondation puisque plus du tout de terrain pour absorber l'eau lors de fortes pluies... nous en avons déjà, rien n'a été mis en place pour cela.... nous prendrons le bain..
- la sécurité : + de circulation sur un chemin où 2 véhicules ne peuvent se croiser donc plus de risque d'accident
- perte de 50% de la valeur estimée... preuve à l'appui, si vous voulez je peux fournir les documents qui en attestent...qui va le rembourser la différence ?
On paie toute une vie: 25 / 30 ans de crédit avec les sacrifices que ça implique... pour rien? Et nos impôts, que seuls les propriétaires paient, qui augmentent démesurément pourquoi au bout du compte?
Voilà, pour toutes ces raisons, je demande à ce que ce projet soit revu pour qu'il soit cohérent avec le paysage urbain environnant , que les promesses faites soient respectées ...
Des résidences pavillonnaire telles que celles commencées 150 mètres plus loin en direction de la piscine seraient un projet bien plus adapté pour l'espace disponible.
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 14 octobre 2025 à 08h46
La commune affirme vouloir « mieux encadrer les conditions d’urbanisation, notamment dans les zones à enjeux, en tenant compte des formes urbaines et architecturales .
Or, l’autorisation d’un bâtiment d’environ 9 mètres de haut dans un secteur pavillonnaire à faible densité contredit cet engagement et modifie l’équilibre du quartier.
Je suis opposée à toute augmentation des hauteurs autorisées dans ces zones déjà constituées.
Je demande que le PLU maintienne des règles strictes de hauteur afin de préserver la cohérence architecturale et paysagère du secteur.
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 12 septembre 2025 à 09h26